Le Mal en Moi

Invité

ÇA N'A PAS L'AIR TRÈS ÉPEURANT MAIS JE L'AI RÊVER ET J'AI EU VRAIMENT PEUR. DIRE QUE J'AVAIS PRÉVU LE TRUC DU MONITEUR. L'AMBIANCE ÉTAIT SORDIDE. J'AI AJOUTÉ LE BIIP POUR LE SENSAS ^^

" Il fait noir, je me sens mal. Je respire difficilement. Je me sens poursuivis. Je regarde autour de moi. Je dois me calmé, laisser allé la panique. Sortir d'ici. Je.. dois.. Sortir.. J'ai de plus en plus de difficulté à respirer. Je sais qu'elle est proche maintenant. La mort se tient à ses côtés. Je n'aurais pas dû. Je l'ai..."

L'hôpital est calme pour une fois. Le secteur des urgences s'est peu à peu vidé. Excepté le moniteur qui vérifie Le coeur de monsieur Pinard, tout le matériel est numéro un. On n'arrive pas à savoir pourquoi, mais le moniteur Griche. Il ne veux pas fonctionner. Je m'occupe de Chaque perfusions, chaque petits maux, Chaque choses qui clochent. Le plancher terne de l'hôpital me déprime tellement, l'imitation de mini-pierre incrusté dans le ciment me révulse tellement. Je vais aller voir un autre médecin passer le temps. Je suis passablement inquiète de la sécurité de M. Pinard avec ce matériel défectueux. Mais que veux-tu? L'hôpital n'a pas beaucoup de budget.

Le Moniteur va de moins en moins bien. Il griche de plus en plus. Je suis incapable d'observer correctement Le coeur du monsieur. L'image fini pas disparaître. Elle est remplacé par un homme. Un homme qui a peur. Un homme qui cherche. Un homme qui à chaud. Plus tout c'est éclairé. Il faisait clair. Une lumière verdâtre. Un lumière d'hôpital. Puis moi. Je n'avais pas mes yeux. Mes yeux était différent. Posséder. Mort. Je le pourchassait cet homme dont je n'avais aucun souvenir. Puis un arrache mauvaises-herbes de plastique le transperça, à l'endroit où devait être son coeur. Mais Rien ne sortit du trou créé. Seulement le néan. Cet homme n'avait pas de coeur.

Bip, Bip, Bip, Biiiiiiiip

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