Pour ceux qui aiment LIRE !!
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Pour ceux qui aiment LIRE !!

Un vrai fofo pour toutes celles et ceux qui aiment lire et partager leur passion pour la lecture
 
AccueilPortailGalerieDernières imagesS'enregistrerConnexion
-36%
Le deal à ne pas rater :
Aspirateur balai sans fil Dyson V8 Origin
254.99 € 399.01 €
Voir le deal

 

 La Mort est mon métier - Robert Merle

Aller en bas 
+2
Etoile Des Neiges
Tinúviel
6 participants
AuteurMessage
Tinúviel
Bouquinovore
Bouquinovore
Tinúviel


Féminin
Nombre de messages : 996
Age : 39
Localisation : Gwendalavir
Emploi : Marchombre ^^
Loisirs : S'émerveiller devant la beauté et la poésie de ce monde et des autres... ^^
Date d'inscription : 20/02/2008

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeLun 17 Mar - 15:19

La Mort est mon métier


La Mort est mon métier - Robert Merle Merle12


4ème de couv’ :

Le Reichführer Himmler bougea la tête, et le bas de son visage s’éclaira…
- Le
Führer, dit-il d’une voix nette, a ordonné la solution définitive du problème juif en Europe.
Il fit une pause et ajouta :
- Vous avez été choisi pour exécuter cette tâche.
Je le regardai. Il dit sèchement :
- Vous avez l’air effaré. Pourtant, l’idée d’en finir avec les Juifs n’est pas neuve.
- Nein, Herr Reichführer. Je suis seulement étonné que ce soit moi qu’on ait choisi...


Préface :

Immédiatement après 1945, on vit paraître en France nombre de témoignages bouleversants sur les camps de la mort outre-Rhin. Mais cette floraison fut brève. Le réarmement de l’Allemagne marqua le déclin, en Europe, de la littérature concentrationnaire. Les souvenirs de la maison des morts dérangeaient la politique de l’Occident : on les oublia.
Quand je rédigeai La Mort est mon métier, de 1950 à 1952, j’étais parfaitement conscient de ce que je faisais : j’écrivais un livre à contre-courant. Mieux même : mon livre n’était pas encore écrit qu’il était déjà démodé.
Je ne fus donc pas étonné par l’accueil que me réserva la critique. Il fut celui que j’attendais. Les tabous les plus efficaces sont ceux qui ne disent pas leur nom.
De cet accueil je puis parler aujourd’hui sans amertume, car de 1952 à 1972, La Mort est mon métier n’a pas manqué de lecteurs. Seul leur âge a varié : ceux qui le lisent maintenant sont nés après 1945. Pour eux, La Mort est mon métier, « c’est un liver d’histoire ». Et dans une large mesure, je leur donne raison.
Rudolf Lang a existé. Il s’appelait en réalité Rudolf Hoess et il était commandant du camp d’Auschwitz. L’essentiel de sa vie nous est connu par le psychologue américain Gilbert qui l’interrogea dans sa cellule au moment du procès de Nuremberg. Le bref résumé de ces entretiens – que Gilbert voulut bien me communiquer – est dans l’ensemble infiniment plus révélateur que la confession écrite plus tard par Hoess lui-même dans sa prison polonaise. Il y a une différence entre coucher sur le papier ses souvenirs en les arrangeant et être interrogé par un psychologue…
La première partie de mon récit est une re-création étoffée et imaginative de la vie de Rudolf Hoess d’après le résumé de Gilbert. La deuxième – où, à mon sens, j’ai fait véritablement œuvre d’historien – retrace, d’après les documents du procès de Nuremberg, la lente et tâtonnante mise au point de l’Usine de Mort d’Auschwitz.
Pour peu qu’on y réfléchisse, cela dépasse l’imagination que des hommes du Xxème siècle, vivant dans un pays civilisé d’Europe, aient été capables de mettre tant de méthode, d’ingéniosité et de dons créateurs à construire un immense ensemble industriel où ils se donnaient pour but d’assassiner en masse leurs semblables.
Bien entendu, avant de commencer mes recherches pour La Mort est mon métier, je savais que de 1941 à 1945, cinq millions de juifs avaient été gazés à Auschwitz. Mais autre chose est de le savoir abstraitement et autre chose de toucher du doigt, dans des textes officiels, l’organisation matérielle de l’effroyable génocide. Le résultat de mes lectures me laissa horrifié. Je pouvais pour chaque fait partiel produire un document, et pourtant la vérité globale était à peine croyable.
Il y a bien des façons de tourner le dos à la vérité. On peut se réfugier dans le racisme et dire : les hommes qui ont fait cela étaient Allemands. On peut aussi en appeler à la métaphysique et s’écrier avec horreur, comme un prêtre que j’ai connu : « Mais c’est le démon ! Mais c’est le Mal ! »
Je préfère penser, quant à moi, que tout devient possible dans une société dont les actes ne sont plus contrôlés par l’opinion populaire. Dès lors, le meurtre peut bien lui apparaître comme la solution la plus rapide à ses problèmes.
Ce qui est affreux et nous donne de l’espèce humaine une opinion désolée, c’est que, pour mener à bien ses desseins, une société de ce type trouve invariablement les instruments zélés de ses crimes.
C’est un de ces hommes que j’ai voulu décrire dans La Mort est mon métier. Qu’on ne s’y trompe pas : Rudolf Lang n’était pas un sadique. Le sadisme a fleuri dans les camps de la mort, mais à l’échelon subalterne. Plus haut, il fallait un équipement psychique très différent.
Il y a eu sous le Nazisme des centaines, des milliers, de Rudolf Lang, moraux à l’intérieur de l’immoralité, consciencieux sans conscience, petits cadres que leurs sérieux et leurs « mérites » portaient aux plus hauts emplois. Tout ce que Rudolf fit, il le fit non par méchanceté, mais au nom de l’impératif catégorique, par fidélité au chef, par soumission à l’ordre, par respect pour l’Etat. Bref,
en homme de devoir : et c’est en cela justement qu’il est monstrueux.
Le 27 avril 1972
Robert Merle




Mon avis :

Un livre impressionnant et instructif au plus haut point. On a beau savoir, lire certaines choses donne toujours un choc.
Rudolf Lang (alias Hoess) est vraiment hallucinant de froideur et d’indifférence envers les autres, ça en est stupéfiant. On a vraiment l’impression qu’il est littéralement "sans cœur".

« En creusant davantage cette idée, je vis qu’il fallait, comme dans une usine, mettre en place une chaîne continue qui conduirait les personnes à traiter, du vestiaire à la chambre à gaz, et de la chambre à gaz aux fours, dans un minimum de temps. »
Moi ça me laisse sans voix…

J’ai trouvé particulièrement brillant le passage, vers la fin, de la discution avec sa femme quand elle apprend la vérité. Cela résume tout.

« Mais ce n’est pas moi ! Je n’y suis pour rien ! C’est un ordre ! »

« Mais c’est stupide ! dit-elle avec une vivacité inouïe. Comment pourront-ils nous exterminer, puisque nous allons gagner la guerre ?
Je la regardai, béant. Je n’avais jamais réfléchi à cela, je ne savais plus que penser. Je détournai la tête et je dis au bout d’un moment :
- C’est un ordre.

- Eh bien ! dit-elle à voix basse et avec une incroyable violence, il fallait refuser d’obéir.

- Mais, dis-je, la gorge serrée, mais Elsie ! Ce que tu dis là, c’est… c’est contraire à l’honneur ! »


« - Mais cela n’aurait servi à rien. Si j’avais refusé d’obéir, quelqu’un d’autre l’aurait fait à ma place !
Ses yeux étincelèrent :
- Oui, mais toi, dit-elle, toi, tu ne l’aurais pas fait !
Je la regardai, stupéfait, stupide. Mon esprit était un vide total.
- Mais Elsie, dis-je…
Je n’arrivais plus à penser. Je me raidis jusqu’à ce que tous les muscles me fissent mal, je fixai mes yeux droit devant moi, et sans regarder Elsie, sans la voir, sans rien voir, j’articulai avec force :
- C’est un ordre. »


Ce n’est qu’un extrait, la discution continue encore et elle est vraiment terrifiante.

La partie sur le procès de Nuremberg également.

« - C’est donc que cette mission vous plaisait ?
Je dis nettement :
- Pas du tout. Elle ne me plaisait pas du tout.
Il fit alors une pause, me fixa dans les yeux, écarta les bras et reprit :
- Eh bien alors, dites-nous ce que vous en pensiez. Comment envisagiez-vous ce genre de tâche ?
Il y eut un silence, tous les yeux étaient fixés sur moi, je réfléchis un moment et je dis :
- C’était un travail ennuyeux. »

(Là tu te dis "mon dieu mais où est-ce que je suis tombée ? Ca coupe le souffle tellement c'est énorme et terrifiant...)

Bref, j’ai mis beaucoup d’extraits parce que dans ce cas je pense qu’ils parlent plus et mieux que tout ce que je pourrais dire.
C’est un livre que j’ai "aimé". A chaque page on se dit "mais ce n’est pas possible, c’est impossible !" et pourtant ça l’est alors…
Un livre utile pour prendre conscience de certaines choses. Vraiment très intéressant autant sur le plan factuel qu’émotionnel.
Si d’autres l’ont lu (Etoile des Neiges je sais que oui), j’aimerais avoir aussi vos avis.



PS : J'espère que vous lirez parce que oui, c'est moi qui ait tout tapé ! Et ça m'a pris du temps ! * essuie la sueur sur son front * Wink
Revenir en haut Aller en bas
Etoile Des Neiges
Bouquinovore
Bouquinovore
Etoile Des Neiges


Féminin
Nombre de messages : 1020
Age : 33
Localisation : Ailleurs...
Emploi : Terminale Littéraire
Loisirs : Dormir...
Date d'inscription : 12/05/2007

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeLun 17 Mar - 20:23

Je l'ai lu il y a quelque temps déjà et je suis entièrement d'accord avec toi. Cet homme n'avait vraiment aucun coeur.
Revenir en haut Aller en bas
http://lennegezh.exprimetoi.net
Acid Queen
Admin
Admin
Acid Queen


Féminin
Nombre de messages : 2437
Age : 34
Localisation : En Vacances !!!
Emploi : Terminale L
Loisirs : Lire, Ecrire, Aimer ^^
Date d'inscription : 08/05/2007

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeMar 18 Mar - 11:02

Ah, je suis contente que tu ais fait un sujet sur ce livre...
Je l'ai vu dans mon CDI et je voulais savoir de quoi il en retourné.
Synchronisation Parfaite ^^
Super résumé Tinu, j'ai trés envie de le lire...
Même si je sens que je vais verser plus d'une larme...
Revenir en haut Aller en bas
http://www.acid-flower.deviantart.com
Tinúviel
Bouquinovore
Bouquinovore
Tinúviel


Féminin
Nombre de messages : 996
Age : 39
Localisation : Gwendalavir
Emploi : Marchombre ^^
Loisirs : S'émerveiller devant la beauté et la poésie de ce monde et des autres... ^^
Date d'inscription : 20/02/2008

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeMar 18 Mar - 12:36

Synchronisation parfaite, comme d'habitude ^^
Ca me fait plaisir que ça t'ait donné envie de le lire !
Tiens nous au courant Smile
Revenir en haut Aller en bas
Acid Queen
Admin
Admin
Acid Queen


Féminin
Nombre de messages : 2437
Age : 34
Localisation : En Vacances !!!
Emploi : Terminale L
Loisirs : Lire, Ecrire, Aimer ^^
Date d'inscription : 08/05/2007

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeMar 18 Mar - 12:38

no problemo ^^
Revenir en haut Aller en bas
http://www.acid-flower.deviantart.com
Aléanore
Bouquinovore
Bouquinovore
Aléanore


Féminin
Nombre de messages : 1237
Age : 33
Localisation : Dans le sud de la France
Emploi : Lycéenne
Loisirs : Réapprendre à vivre...
Date d'inscription : 12/05/2007

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeJeu 20 Mar - 0:10

J'en ai beaucoup entendu parler, mais, bien que cela va paraître stupide, j'ai les nerfs très fragiles et c'est le genre de livres qui me hante et me dégoûte encore plus de la nature humaine (de plus que mes parents étant agés, mon père a connu de près cette époque, il avait 9 ans au début de la guerre, et la, peur de cette époque a déteint sur moi) ... J'en ferais des cauchemars (quand je dis que je suis sensible c'est un euphémisme...) mais il va falloir que je lise des livres sur cette époque et quand je trouverai le courage, je repenserai à ce livre, promis...
Revenir en haut Aller en bas
Tinúviel
Bouquinovore
Bouquinovore
Tinúviel


Féminin
Nombre de messages : 996
Age : 39
Localisation : Gwendalavir
Emploi : Marchombre ^^
Loisirs : S'émerveiller devant la beauté et la poésie de ce monde et des autres... ^^
Date d'inscription : 20/02/2008

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeJeu 20 Mar - 0:31

C'est pas stupide, c'est compréhensible...
Ce n'est pas le genre de livres qu'on lit sans trop y penser, pour se changer les idées !
Tu verras quand tu te sentiras prête :-)
Revenir en haut Aller en bas
Acid Queen
Admin
Admin
Acid Queen


Féminin
Nombre de messages : 2437
Age : 34
Localisation : En Vacances !!!
Emploi : Terminale L
Loisirs : Lire, Ecrire, Aimer ^^
Date d'inscription : 08/05/2007

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeDim 6 Avr - 17:05

Je viens de le finir !!!
Alors, voyons voyons...
Je ne sais pas trop quoi dire, disons que les idées se bousculent un peu dans ma tête...

Bon sur la forme, c'esu un bon livre.
J'aime le style d'écriture, c'est fluide, entrainant.
L'auteur choisit bien ses mots et il est clair.

Le fond. L'histoire est pas mal. Ce que j'entends par là c'est qu'il n'a pas choisi n'importe quel SS, celui ci a eut une vie peu commune et il est malgré tout interessant de se pencher sur son cas.
(Je dis tout cela en toute neutralitéet tout objectivité en mettant de coté les horreurs qu'il a commises)
Je crois que d'une certaine manière on peut "entendre" le comportement du personnage. Je pense que son enfance l'a bcp choqué je trouve cela "normal" que cette étrangeté ce retrouve plus tard, sans forccément parler du nazisme cela se voit partout, lorsque dans son enfance par exemple on a été battu il y a deux formes de suite: soit l'on frappe à son tour ses enfants soit on fait tout ce que l'on peut pour l'éviter. Malgré tout il faut garder à l'esprit que ce n'est pas facile de surmonter ce genre d'expérience surtout lorsque l'on est touché par une personne aussi proche que ses parents.
Attention, je ne voudrais surtout pas que l'on déforme mes propos, je ne suis absolument pas en train de défendre Lang mais j'essaye de rester objective, le plus possible en tout cas.

Bon maitenant parlons perso.
J'ai apprécié la lecture de ce lire que je trouve malgré tout enrichissant sur le plan"techinique" des camps. On croit savoir bcp de choses dessus mais à chaque fois qu'on lit un livre qui traitre du nazisme ou des centres concentrationnaireson en apprend toujours de nouvelle.
Je trouve cela trés important car on se rapproche toujours un peu plus de la vérité, de soit même on se forge un avis, une opinion et l'on "compatit" plus avec les détenus.
(j'ai un peu de mal à choisir mes mots... désolé)

> Rudolf Lang.
Je trouve le personnage ultra interessant sur le plan psychologique. Il est trés riche et il est trés difficile de cerner son caractére dansl'ensemble, il nous surprend toujours quant à ses réactions.
Ce qui me surprend le plus chez lui c'est son entier dévouement à respecter l'ordre. C'est incroyable la capacité qu'il a à se détourner de ce qu'il pense et ressent, à le mettre complétement à part et à obeîr.
Il faut bien avouer qu'il est assez intelligent ou en tout cas, il a de l'entendement et sait accomplir chacunes des tâches qu'ils lui sont affranchies. Sur le plan psycholigique toujours, je le trouve trés fort.
La chose qui me surprend le plus chez lui, c'est sa totale déshumanisation, jamais je n'arriverais à comprendre qu'un tel homme ait pu exister, pour moi c'est juste impossible.

> Setzler.
Je me suis pas mal attacher à ce personnage, douté d'une grande humanité. Dés que je l'ai vu apparaitre j'ai deviné qu'il se tuerait avant le procés de Nuremberg. Il essaie de passer pour l'officier parfait et voit Lang comme un model. Je le trouve touchant et sensible.

Dans l'ensemble, je pense que c'est un livre à lire, accesible à (presque) tout le monde. Le seul repproche que j'aurais à faire et que quelques fois on se perd dans le récit, certaines situations ne sont pas trés claires. On a une vue omnisciente du Lager et c'est assez rare.
Voila, j'espere que mon résumé vous a plu et pas trop choqué mais sachez que je voulais vraiment rester dans l'objectivité.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.acid-flower.deviantart.com
Tinúviel
Bouquinovore
Bouquinovore
Tinúviel


Féminin
Nombre de messages : 996
Age : 39
Localisation : Gwendalavir
Emploi : Marchombre ^^
Loisirs : S'émerveiller devant la beauté et la poésie de ce monde et des autres... ^^
Date d'inscription : 20/02/2008

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeLun 7 Avr - 12:45

Je suis contente que tu l'aies lu et que tu sois venue donner ton avis ^^

Je comprends ce que tu as dit sur l'enfance de Lang et ses répercussions car j'ai plus ou moins ressenti la même chose.
Sinon pour Lang je suis d'accord avec toi, sur le plan psychologique c'est super "intéressant" et impressionant...
Revenir en haut Aller en bas
.Lunati.
Lectrice en herbe
Lectrice en herbe
.Lunati.


Féminin
Nombre de messages : 230
Age : 30
Localisation : Paris
Emploi : Bientôt lycéenne
Loisirs : Littérature, Musique, Création Graphique
Date d'inscription : 09/08/2007

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeSam 19 Avr - 12:52

Mon prof d'histoire nous l'a conseillé.
Revenir en haut Aller en bas
http://lu-world.kazeo.com
Marion
Explorateur du monde lecteur
Explorateur du monde lecteur
Marion


Féminin
Nombre de messages : 23
Age : 34
Date d'inscription : 15/05/2008

La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitimeJeu 11 Sep - 19:37

J'aimeria bien le lire.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





La Mort est mon métier - Robert Merle Empty
MessageSujet: Re: La Mort est mon métier - Robert Merle   La Mort est mon métier - Robert Merle Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
La Mort est mon métier - Robert Merle
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Le Bois de Merlin ~ Robert Holdstock
» "Le ring de la mort" de Jean-Jacques Greif

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pour ceux qui aiment LIRE !! :: La bibliothèque !! :: Roman Historique-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser